• Charles Payan,
    Givre / La vitre, installation vidéo, 2007.

    Chaque sculpture, chaque vidéo de Charles Payan devient l' "aitre" (demeure et foyer) de l'être,
    de son advenir sans départ. Elle est l'ouverture où tout retourne à soi, en elle.
    Rien n'a lieu que le lieu. Dans son repos.
    Nous voici sans points d'appui. Il faut en jouir, nous "dit" tacitement Payan
    où soudain - immense privilège d'un art adulte - les fantasmes ne repoussent plus comme du chiendent.

    Jean-Paul Gavard-Perret
    (Extrait de Charles Payan : cas du « ka», vision du vide et l'art de la structure)


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  • Charles Payan,
    J‘avais peut-être oublié le vent, 2006
    Vidéo (vêtements légèrement animés)
    sur 4 panneaux de 140x40cm


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  • Charles Payan,
    Présence / absence, 2006 (acier oxydé, inox)

    Le travail de Charles Payan se situe à la frontière
    de l'abstraction géométrique et de l'arte povera.
    Si dans sa peinture/sculpture il s'intéresse aux notions d'équilibre/déséquilibre,
    ses installations, par la confrontation matière/image sont principalement
    une interrogation sur le temps.

    En écho au travail de Stéphane G. Schollaert,
    il présente plusieurs installations vidéo.
    Aux instants du photographe, il répond par d'autres instants.


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  • Stéphane G. Schollaert, Photographie
    Docteur en Médecine. Se spécialise en radiographie et imagerie médicale.
    Depuis 1986, s'oriente vers la photographie d'auteur.
    Son travail sur les transparences, sur les ombres et les formes fait bien sûr songer
    à la grande tradition classique de la photographie des années '30 et '50.
    Dans cette œuvre photographique aboutie, l'éloquence de l'ombre se veut tactile,
    tout comme le silence de la lumière s'appréhende de façon visible.


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