• Pont de Claix (isère) France
    15 Février / 7 Avril 2011
    Moulinds de Villancourt

    Giles RYDER (Australie), d’unepart, présente une œuvre très subtile :dans une boîte vitrée, une petite toile enduite d’une peinture métallisée accueille tous les scintillements de lumières dus à un système kaléidoscopique installé sur les côtés, à l’intérieur de la boîte.
    Mais par ailleurs, l’artiste a demandé que l’on dispose à quelques mètres, des miroirs aux cadres et aux formes variées qui puissent réfléchir les mouvements des spectateurs et leur recherche de positionnement pour mieux voir l’œuvre précédente. Le regardeur vit ainsi une sorte d’expérience synesthésique particulière à cet espace.


    votre commentaire
  • Roland OREPÜK (France) présente sur diverses toiles peintes en blanc et jaune un agencement de tableaux de différentes dimensions posés sur un meuble aux formes quadrangulaires. Les tableaux sont disposés de telle sorte qu’une ligne précise les traverse tous à une certaine hauteur comme le ferait une ligne d’horizon légèrement arrondie sur les côtés. Une petite toile jaune carrée se détache en haut et affirme cette idée de lumière en cet instant précis de l’installation. Une autre installation faite de tout petits tableaux posés sur un vaste mur blanc joue avec l’idée de miniaturisation,   chacun jaune et blanc, ni tout à fait pareil aux autres, ni tout à fait différent.


    votre commentaire
  • Roland Orépük


    votre commentaire
  • Caroline de LANNOY (Belgique / Royaume Uni) propose 4 petites surfaces peintes sur toile avec d’épais châssis. Des camaïeux de tons sourds se  répondent dans de petites formes géométriques très précises dans lesquelles la couleur ne provoque pas de vibration rétinienne, mais une impression d’équilibre non hiérarchisé sur toute la surface.


    votre commentaire
  • Sato SATORU (Japon / France) a souhaité que ne soit accrochée qu’une seule œuvre : sur une toile tendue non préparée, un dessin à l’encre laisse percevoir des lignes orthogonales par dessus lesquelles un rectangle peint en blanc vient se glisser sous un carré de bois non peint. Tous les éléments que le peintre se doit d’utiliser sont là, dans une stricte organisation, très dépouillée, selon le mode de l’art concret.

     

    Suite page suivante >>


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires