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Cette série de travail étudie les possibilités spatiales et les relations dans un champ géométrique réducteur . Standard, les formes répétitives (carrés et rectangles) sont utilisés pour ce qu'ils ont de plus primaire et intemporel.
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Le résultat est ensuite plus évidents. La forme devient significative, non pas par l'ingéniosité ou la surprise, mais à cause de la répétition et l'extension. Il s'agit d'un effort pour se rapporter à l'observateur.
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...de PVC, verre, aluminium, papier, huile et peinture acrylique - forment à deux et trois dimensions des peintures et des constructions. Le travail de Pam Aitken a l'intention théorique à une relation à la tradition, un développement pratique au sein de l'héritage, et un sens de l'innovation.
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No. CVII des 69 3 éme et dernier état. Denis Serre / Destruction ET Construction Comment fonctionne le jeu de ces associations visuelles ? Après avoir visionné dans l’atelier de Denis Serre à Kehl, les Trois grâces, les Triptyques, les Toiles en T, j'ai vu le même jour une surprenante...
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N° LXXXIII de la série des 69x69 cm Cette Trinité tricéphale de 1500 opère une contraction, puisque qu’elle ne présente que quatre demi-face pour trois visages. Serait-ce une semblable opération de condensation qu’utilise Denis Serre avec son motif de composition en triptyque encadré...
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Série des 69 RVB, N° XXXXVIII. La tension du champ coloré est renforcée paradoxalement par ces coupures réelles et non feintes. Le peintre est destructeur et en même temps constructeur, iconoclaste et iconodule. L’œil relie ce que la main divise. Ce qui devrait couper, délimiter, prend...
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No. LXXVIII des 69 2009. C'est cet effet de corps démembré et recomposé qui qualifie les polyptyques de Denis Serre. Cette manière non formelle, donc subtile, où le négatif œuvre pour le positif conjugue, pour nous la faire éprouver, destruction et construction. François Jeune.
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No. CV des 69_Pablo Picasso Martin Kippenberger et moi qui est-ce qui a le plus beau pinceau. Juillet 2010
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Laura Nillni “I shall be to late !“ Sculptures murales autour d' Alice au pays des merveilles du 21 au 25 octobre dans le stand de la Galerie Lélia Mordoch, Art Elysées 2010
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Une sculpture murale est un objet ambigu, un paradoxe. J'aime l'imaginer comme une excroissance du mur, une sorte de monstre dont la présence ne se dénonce pas de façon frontale mais dans le parcours physique de l'espace.